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blog.Amanda
16 mars 2009

Standard Operating Procedure

Standard Operating Procecdure nous fais vraiment réaliser qu'une «image vaut mille mots». En ce cas-ci, il y a des milliers de photos. Ce documentaire est une enquête dans le scandale d'ababughraibus de prisonniers à Abu Ghraib, en Iraq. Déjà dans les premières minutes du film, on pouvait constater que c'était de bonne qualité, les qualités d'un vrai film dramatique. C'est très provocatif avec le style du directeur Errol Morris, qui est très visuel en ce qui tient à montrer le publique. À travers le documentaire, les interviewés nous on fait part de les photos qu'ils ont prit des prisonniers. Ces images étaients horribles, répugnantes et on a pu voir la maltraitance des prisonniers, étant traités comme la saleté. Parfois tous nus, parfois visiblement battus, les ex-soldats américains nous informent que c'était leur obligation de prendre de telles photos. En général, le documentaire aborde des issues entourant la torture état-sanctionné, l'abnégation de la responsabilité de gouvernement et ce qu'arrive quand certains jeunes soldats masculins et féminins sont laissés à leur propre dispositifs mal renseignés. Morris fait un rapport dans le film et explique qu'une force conduisant le projet était la masse de photographies prises par les soldats américains à Abu Ghraib qui documentent, souvent dans des détails explicites, l'abus du prisonnier qu'ils ont aidé à perpétuer. Morris et son équipe «se sont mis à examiner le contexte de ces photos» afin d'essayer de découvrir ce qui s'était produit en dehors de l'armature. Pour lui, les photographies fonctionnent comme exposé et dissimulatoin car tandis qu'ils révélaient l'horreur, ils ont également «convaincu les journalistes et les lecteurs qu'ils avaient vu tout". Malgré que les entrevues avec les différents militaires américains et les rétablissements étaient intéressants, ils n'allaient pas plus loin de ce qu'on voyait. La plupart des témoins en étaient des bons, bien que ça devient clair que la plupart des témoins, comme Janis Karpinski, étaient là pour témoigner en leur propre nom.

320 mots

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