Standard Operating Procecdure nous fais vraiment réaliser qu'une «image vaut mille mots». En ce cas-ci, il y a des milliers de photos. Ce documentaire est une enquête dans le scandale d'abus de prisonniers à Abu Ghraib, en Iraq. Déjà dans les premières minutes du film, on pouvait constater que c'était de bonne qualité, les qualités d'un vrai film dramatique. C'est très provocatif avec le style du directeur Errol Morris, qui est très visuel en ce qui tient à montrer le publique. À travers le documentaire, les interviewés nous on fait part de les photos qu'ils ont prit des prisonniers. Ces images étaients horribles, répugnantes et on a pu voir la maltraitance des prisonniers, étant traités comme la saleté. Parfois tous nus, parfois visiblement battus, les ex-soldats américains nous informent que c'était leur obligation de prendre de telles photos. En général, le documentaire aborde des issues entourant la torture état-sanctionné, l'abnégation de la responsabilité de gouvernement et ce qu'arrive quand certains jeunes soldats masculins et féminins sont laissés à leur propre dispositifs mal renseignés. Morris fait un rapport dans le film et explique qu'une force conduisant le projet était la masse de photographies prises par les soldats américains à Abu Ghraib qui documentent, souvent dans des détails explicites, l'abus du prisonnier qu'ils ont aidé à perpétuer. Morris et son équipe «se sont mis à examiner le contexte de ces photos» afin d'essayer de découvrir ce qui s'était produit en dehors de l'armature. Pour lui, les photographies fonctionnent comme exposé et dissimulatoin car tandis qu'ils révélaient l'horreur, ils ont également «convaincu les journalistes et les lecteurs qu'ils avaient vu tout". Malgré que les entrevues avec les différents militaires américains et les rétablissements étaient intéressants, ils n'allaient pas plus loin de ce qu'on voyait. La plupart des témoins en étaient des bons, bien que ça devient clair que la plupart des témoins, comme Janis Karpinski, étaient là pour témoigner en leur propre nom.

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Madonna, la chanteuse pop star américaine, sera cette fois-ci la star parisienne de la campagne de publicité pour la collection de prêt-à-porter printemps-été 2009 fait par le designer Marc Jacobs pour la maison de luxe française Louis Vuitton. Les photographies de cette campagne seront lancées internationalement en février, signées par Steven Miesel. Ce dernier est un photographe professionnel de mode dont la chanteuse a travaillé depuis plusieurs années. Selon un communiqué, « Madonna incarne la quintessence de la Parisienne de Marc Jacobs. Mise en scène dans un décor sépia rappelant les cafés de Paris des années 40 --bar en zinc, chaises cintrées et atmosphère enfumée --, vêtue de jupes courtes, de sandales à l'inspiration ethnique et de bracelets aux imprimés zébrés et léopards, elle joue avec l'objectif dans des poses provocantes ». Marc Jacobs a déclaré lui-même qu’il voulait « une campagne à la fois très audacieuse, mais aussi sensuelle et évocatrice ». Il pense aussi que « pour retranscrire autant de références et une telle sophistication, nous avions besoin de l'artiste suprême. C'est ce qu'incarne Madonna à mes yeux ». Le créateur américain Jacobs, avait crée une collection octobre de l’année passée très « dynamique et joyeuse ». Il a mis une scène parisienne, comme le fera Madonna, avec des jupes-micro, des bijoux ethnique et sandales haut perchées. Ce défilé présenté avait été recueillie avec plein d’enthousiasme par le public.

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En général, les groupes hommages font habituellement leurs tournées en jouant les chansons et les répertoires des groupes de rock plus ou moins fidèlement. Malgré cela, il y a un certain nombre de groupes, comme The Australian Pink Floyd, qui contente leurs fans « purs et durs » aux Centre Bell, aux Olympia de Paris et aux autres Royal Albert Hall de ce monde. Lorsque Roger Waters est venu deux fois au Centre Bell en 2006 et en 2007, il avait recruté deux musiciens pour imiter le chant et la guitare de David Gilmour et c’était exactement comme un groupe hommage. En effet, il n’y a pas beaucoup de différence entre le groupe de Waters et le groupe hommage le Pink Floyd australien, qui se déroulera demain soir au Centre Bell. Comme mentionné tantôt, le groupe est d’origine australienne mais il est maintenant installé à Angleterre. Une chose certaine, le groupe rend très bien la musique originale de Pink Floyd. Il a même remplacé le kangourou classique par un cochon géant lors d’un spectacle.

The Australian Pink Floyd pourra se permettre demain soir de reprendre leur spectacle « The Wall », dont plusieurs fans de Pink Floyd n’ont jamais vu à cause qu’il n’a pas été performé ni filmé par le groupe que dans quelques villes. « Nous sommes très fidèles à la musique de Pink Floyd, mais nous nous permettons une certaine liberté, a expliqué le claviériste Jason Sawford (membre du groupe original) avec le guitariste Steve Mac. Nous utilisons parfois une certaine version live moins connue d'une chanson que nous intégrons dans une autre version, ce que Pink Floyd ferait aujourd'hui de toute façon. Pour The Wall, nous combinons plusieurs versions: l'album studio du même nom, le live Is There Anybody Out There et des choses que Roger a faites en solo, et ça donne une approche originale ». Pour ce qui est de l’aspect visuel du spectacle et l’animation par ordinateur, c’est Bryan Kolupski qui s’en occupe. Ce dernier travaille avec le band depuis des années. Mais c’est hors question d’emprunter des idées du vrai Pink Floyd, Kolupski crée un scénario visuel original, et le groupe doit être en accord bien sur. «En effet, ce que nous faisons n'est pas très différent de ce que fait Roger, dit Jason Sawford. Je pense que plusieurs groupes de la génération de Pink Floyd et des Who sont devenus en quelque sorte des groupes hommage à eux-mêmes. Quand ils partent en tournée, tous les membres d'origine ne sont pas présents, il n'y en a qu'un ou deux avec des musiciens de studio. De toute façon, s'ils veulent continuer à jouer leur musique le plus fidèlement possible, ces groupes n'ont pas le choix: ils doivent reprendre la formule du groupe hommage. C'est un peu la musique classique d'aujourd'hui, et il faut des musiciens qui peuvent l'interpréter correctement ».

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Bono, le chanteur du groupe provenant de l’Irlande, U2, a reçu ce dernier vendredi à Paris l’honneur du Peace Summit Award. Ce dernier prix lui a été remis par le maire de Paris, Bertrand Delanoë, le président du Secrétariat permanent du Sommet des Nobel de la Paix et le maire italien de Rome, Walter Veltroni. Cette cérémonie s’est déroulée dans le 9e Sommet mondial des Nobel de la Paix. Les travaux ont commencé à Paris le jeudi et se continueront jusqu’à samedi. Présent également étaient l’ex-otage des Forces armées révolutionnaires de Colombie Ingrid Betancourt, de même que les Nobel de la Paix Betty Williams, F.W. Klerk et John Hume, qui ont tous reçu ces prix en 1976, 1993 et 1998 respectivement.

Bono, avec son look typique de lunettes de soleil, a dit que « les talents des gens de la mode, les popstars, les présidents directeurs généraux ou sportifs pour travailler sur la mondialisation et pour briser l’injustice vécue par des victimes du sida » étaient nécessaires. Le chanteur de U2 a déclaré sa fierté envers la promesse faite par le président qui sera élu le 20 janvier, Barack Obama, de doubler les crédits pour le sida d’ici jusqu’à 2015. Bono a remercié la mobilisation économique des secteurs les plus riches des États-Unis qui, grâce à eux, la construction de plusieurs hôpitaux dans le Rwanda ou au Kenya était possible. « Il s’est dit amer, en évoquant le paludisme, à l'idée que dans certains pays, on puisse encore mourir des suites de piqûres de moustiques ». En terminant, Bono a passé par les chiffres, c’est-à-dire les nombres de personnes européens contaminés par le sida (VIH) pour plaider à des efforts de prévention.

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Desperate Housewives en 2012? Le créateur de la série Marc Cherry a mentionné qu’il parle avec la compagnie de production ABC de continuer l’émission comédie-drame pour un autre quatre saisons. Cette émission qui est très connue est très attendue à chaque dimanche soir, par les femmes surtout, satisfera les téléspectateurs si elle continuerait de jouer pour quatre saisons consécutives. « J’ai récemment commencé à parler avec le président de ABC Entertainment Steve McPherson et le président de ABC Studios Mark Pedowitz à propos de prolonger l’émission jusqu’une neuvième saison », a dit le créateur Mark Cherry lors d’une célébration pour le 100^e épisode de Desperate Housewives. « Nous trouverons une façon de le faire possible ». ABC a confirmé le plan mais insiste qu’aucun deal n’a été fait. Présentement dans sa cinquième saison, Desperate Housewives doit être renouvelé encore au-delà de mai. Pendant cette dernière année, le créateur Cherry avait dit publiquement qu’il avait l’intention de choisir une date fixe pour terminer l’émission après sept saisons. Mercredi dernier Cherry a reconnu qu’il a récemment changé d’avis pendant que l’émission a rebondissait sur le côté créatif et une chute dans les ratings, étant l’émission de ABC la meilleure écrite. « Le saut de cinq ans (dans l’émission) semble avoir intéressé les téléspectateurs de plus en plus et les estimations sont excellentes » a ajouté Cherry.

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Le groupe de rock britannique Coldplay ont nié l’accusation du guitariste Joe Satriani qu’ils ont « volé » l’instrumental de celui-ci en disant que n’importe quelle similitude n’était qu’une coïncidence entière. Il a entamé une procédure de loi de violation des droits d’auteur en Los Angeles jeudi dernier, réclamant que la chanson de Coldplay  « Viva la Vida » incorpore des parties originales substantielles de sa chanson de 2004 « If I Could Fly ». Le guitariste de cinquante deux ans cherche un procès judiciaire, dommages et tout en profits attribuables à la violation de droits d’auteur alléguée. Par contre, Coldplay, dont les airs atmosphériques montants ont été défavorablement comparés à ceux du groupe de rock irlandais U2, a ignoré au loin les allégations. « S'il y a des similitudes entre nos deux morceaux de musique, ils sont entièrement coïncidents et aussi étonnants pour nous que pour lui. Joe Satriani est un grand musicien mais il n’a écrit ni influencé notre chanson « Viva la Vida ». Nous lui demandons avec respect d’accepter nos assurances de tout ceci et de lui souhaiter du bien avec tous les futurs efforts ». Satriani a poursuivi Coldplay le jour après que le groupe a reçu sept nominations Grammy, deuxième après le rappeur Lil Wayne.                                             211 mots 

Dakota Culkin, la sœur à l’acteur du fameux film Home Alone, Macaulay Culkin, est morte d’un accident de route tragique. Elle avait le nom fameux, mais ne voulait pas la renommée. Sa famille se souviendrait toujours d’elle comme étant une fille « sweetheart ». Une amie Schroeder lui caractérise comme étant très humble. « Elle n’a jamais voulu l’attention des caméras, elle a toujours voulu travailler « behind the scenes » ». Culkin, 29, a été accidentellement heurté par une voiture pendant la nuit à Los Angeles, et s’est retrouvé morte le jour suivant. Aucun crime n’a été commis, la police a confirmé. Une amie proche de Culkin, Andrea Poe, 35, qui a travaillé avec elle sur un film a dit à PEOPLE que Culkin a récemment déménagé de la ville de New York à Los Angeles pour poursuivre une carrière dans la production de film. « Elle était très discrète [au sujet de son nom], mais en même temps fière de ses frères et sœurs », indique Poe et ajoute « Elle était très proche de Macaulay. Ils parlaient fréquemment au téléphone ou sortaient pour manger ensemble ». Poe ajoute « tout le monde qui connait Dakota et ont travaillé avec elle est dans le choc profond, c’est un accident horrible ».

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Après avoir blâmé les producteurs d’American Idol pour avoir laissé un « stalker » l’approcher, le futur de Paula Abdul sur l’émission est discuté. Un mois après que le fan rôdeur allégué Paula Goodspeed est mort d’un suicide devant la maison du juge de Idol, Abdul a confronté les producteurs du show américain en les accusant de laisser Goodspeed auditionner lors de la cinquième saison de l’émission. Pendant une entrevue plus tôt cette semaine avec la célèbre Barbara Walters, Paula Abdul, 46, a annoncé qu’elle a averti les producteurs au sujet de Goodspeed. « J’ai dit, cette fille me suit partout. S’il-vous-plait ne la laissez pas entrer. Tout le monde le savait. Je frissonnais ». Mais les producteurs ont dépassé ses soucis, Abdul a réclamé, parce que « c’est amusant qu’ils me causent stress ». Lorsque demandé pourquoi elle continuerait d’occuper sa position sur l’émission si elle avait de telles rancunes, Abdul a indiqué : « Je suis sous contrat ». Une source confirme des conversations qu’eut Abdul avec des producteurs et la compagnie FOX. « Elle commençait à parler avec FOX à propos de son contrat il y a quelques semaines et ils sont en train de faire des négociations. Elle prévoit maintenant de retourner, après cette huitième saison.

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Le Canada et la Colombie ont signé un accord de libre-échange vendredi, espérant d’amplifier l’investissement et les courants commerciaux en ce temps d’instabilité économique globale. Le pacte, qui a été critiqué par des leaders syndicaux des deux pays, des politiciens d’opposition, de même que les activistes des droits de l’homme qui disent que la Colombie ne fait pas assez pour arrêter les attaques contre les activistes, inclut des accords sur les droits de travail et de l’environnement. L’affaire doit être ratifiée par les législatures dans les deux pays. Elle a été signée comme les chefs des États-Unis, du Japon, de Chine, de Canada, d’Australie et d’autres économies des pays de la côte Pacifique se réunissent dans la capitale du Pérou, Lima. Le premier ministre canadien Stephen Harper et le président colombien Alvaro Uribe ont dit à une conférence de nouvelles que le deal commercial a envoyé un message d’anti-protectionnisme lors d’une agitation économique lorsque quelques pays augment des entraves au commerce d’échanges. La Colombie et les États-Unis ont signé un accord d’échange il y a deux ans, mais le congrès américain ne l’a pas approuvé. Cet accord entre la Colombie et le Canada éliminerait des tarifs sur 98% d’exportations canadiennes courantes en Colombie, soit immédiatement ou dans les dix prochaines années. 

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« Ce soir, je rentre chez nous », a dit Patrick Roy qui est de retour de Montréal cette soirée au Centre Bell. Une mis en scène s’est déroulée avec douze jeunes gardiens de but illustrant l’évolution de la carrière de Roy, de la Ligue Nationale jusqu’à la retraite de son chandail. Après avoir salué les jeunes, Patrick Roy est allé sur la glace pour rejoindre Saku Koivu, Carey Price et Jaroslav Halak qui patinait avec la bannière commémorative de son chandail numéro 33. Lors des applaudissements et les « Patrick! Patrick! Patrick! », Roy a suspendu, avec l’aide des trois joueurs, la bannière tricolore qui a été remontée jusqu’au plafond du Centre Bell. C’était évident qu’il était très fier et digne de son honneur qu’on lui a remis; Roy a même coulé des larmes en regardant sa bannière vers le plafond de l’aréna entre celles des gardiens Jacques Plante et Ken Dryden. Patrick Roy a finalement sa place bien mérité. Présent étaient ses parents, son frère et sa sœur, ses enfants, le joueurs actuels des Canadiens, ceux avec qui il a remporté la Coupe Stanley en 1993 et surtout les 21 273 amateurs criant leur affection. Roy a savouré ce moment précieux de cette cérémonie à la hauteur du gardien de but qu’il était. Roy a même reçu une ovation prolongée pour un bon cinq minutes. L’ancien joueur des HABS est revenu sur tous les moments importants qui ont marqués sa carrière avec les Canadiens, lors de son discours très émotif. «Merci d’être exigeants, merci de nous demander de jouer chaque match comme si c’était le dernier. Merci de voir dans chaque victoire un morceau d’histoire. Ce soir, on retire un morceau important de mon armure. Mais je me souviendrai toujours de la fierté d’avoir porté le bleu, le blanc et le rouge ».

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